Songtext Poète maudit Dosseh

Poète maudit

Desperadoss La Famine!
Eh yo despo j'sais pas si a toi sa fais la même mais les frères ne cessent de me regarder comme si les caisse dans le clip prototype etaient les miennes. Pense dur comme fers que j'ai percé, que j'suis arriver au top, je m'y crois que jais salement encaisser depuis Bolide 2 et Autopsie 3,
Mais si il savaient que je n'en suis qu'a 2 doigts de retourner au casse-pipe, j'vois l'avenir flou comme a travers des éclats de vitres,
Je les laisse fantasmé sur nos vies comme, comme si on etaient des mythes, je laisse surtout les haineux jacté qu'il vont nous Ken Pffff comme si ils avaient de beat,
Qu'ils haissent ou qu'ils aiment on s'en tape tant qu'ils craignent, j'assument mon envie de faire du biff tard que sa en déplaisent a quelque bitch
Car aucun de mes détracteurs me fera bouffer mes gosse a ma Ce-pla Quand mon ... me decendra personne ne defendra mon Ze-bla
Ceux qui rageront que je soit au top en disant que j'ai changer enves eux seront les mêmes qui si j'me loupe me traiteront comme le dernier des cancereux
Si ils savaient a quel point Doss s'en branle serieux j'suis telement au dessu de tout sa que d'ou je suis je peux le cracher dans les cheuveux si j'veux
Ici j'me sens comme un Punchlineur incompris frère un innocent au chtard dont personne ne sait a quel point il dit vrai
Ceux qui ce trouve devant moi ne sont pas forcément ceux que j'suivrais, ceux qui ce place derriere moi j'suis pas forcement sur que je les guideraient,
je n'suis qu'un poète maudit que les Ghetto Youth écoutent,
pour l'industrie j'suis qu'un produit c'est réciproque donc je le prend cool,
cesse une minute d'applaudir relativise un coups sin-cou
Dmande a tes rappeurs favoris si les contrats de pub et les disque d'or achètes une paire de couilles
Refrain:
Ya rien a Té-gra dis le on passe du crak qui revient de Bratz seul,
bronzer rouge comme des crabes j'suis même pas imposable, l'age d'or du Rap d'ici on m'a offert le livre, tourner les pages impossible le mec c'était trop branlé dessus, On rap nos vies, nos morts, nos amours, nos guerres, on est les boomers des quartiers pas leurs perroquets on les représentent il payent les américains,
Pas de compte a rendres ils croient sue le rap et la rue c'est a leurs grand mères ou quoi?..

Jai grandit trop modestement pourvouloir du statut de bénévole rien ne ce fais dans la ... que tu tape dans le deal ou dans le vole c'est pas que je rap que pour le fric mais je ne rap pas contre non plus,
qu'importe le commentaire de ces no life qui éjacule leurs frustration sur tous ces forums de mon cul,
les frères nous demande d'être ce qu'eux voudrais qu'on soit mais j'suis trop moi pour n'être qu'un produit de leurs fantasme trop frai dans ce que j'écrit me parle pas de ces rappeur en tok j'assumerai mes textes les plus provoque peu-être même mieux que si j'avais mi ma propre feu-meu en clok,
Mon pote me répète qu'avec notre manière de voir le biz on serait au state que des grosse tête on aurait déjà miser sur nos diez
je m'en suis toujours battu les couille de leurs on dit et maintenant j'ai grandit avant j'les emmerdais donc aujourd'hui j'les baisent
Et encore j'suis gentil sa critique ouvertement mais sa ....... sa braille mais sa n'achète pas et ce plaint que le rap c'était mieux avant,
Laisse sa à chasue disue on rejou nos carrière, à chaque pique on risque le boycotte tuer les tous et les vrai reconnaîtront les vrai Fuck of !!
Ne comprendront que ce qui doivent comprendre cousin, j'ai pas encore graille mais j'y travail mais pour l'instant j'suis encore inscrit au pôle emploi comme Bruno Beausir, ya que sur Facebook que mon compte est presque plein
J'te cache pas que les rappeur stop la (démago) enfin j'dis sa j'te clash pas j'ai de l'amour pour le Hip-Hop mais aussi pour le cash Papa Hein Despo on dit quoi ?..
Refrain:
Ya rien a Té-gra dis le on passe du crak qui revient de Bratz seul,
bronzer rouge comme des crabes j'suis même pas imposable, l'age d'or du Rap d'ici on m'a offert le livre, tourner les pages impossible le mec c'était trop branlé dessus, On rap nos vies, nos morts, nos amours, nos guerres, on est les boomers des quartiers pas leurs perroquets on les représentent il payent les américains,
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